Weendy G. Roosevelt
Pseudo : redpuppy Messages : 5 Date d'inscription : 14/02/2010
| Sujet: tu t'envoles, tu t'envoles - wee Dim 14 Fév - 0:37 | |
| _____nom du personnage Nom, prénoms : ROOSEVELT, weendy gaïa Date et lieu de naissance : le trente décembre à Londres Particularités, manies, tics : agites sans arrêt le nez, se remue sans arrêt les cheveux, trie ses bonbons Signe astrologique : capricorne Groupe : regular students Avatar : amanda seyfried
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londres, vingt-huit juin comme si on pouvait y faire quelque chose ... « Chérie ! Viens par ici s'il te plait et amènes ta sœur avec toi ! » Les fillettes sortirent de leur cabane au fond du jardin, leur panier de pique-nique à la main et s'avancèrent vers leur mère. Weendy la plus âgée, Lyllibell, la plus jeune de cinq ans. Ne se doutant de rien, le sourire aux lèvres, elles allèrent entourer leur mère de leurs petits bras quand elles furent débarrassée de leur panier par la domestique. La mère s'assit péniblement et douloureusement dans la chaise à bascule invitant sa fille à venir sur ses genoux, pendant que la benjamine enfournait une tartine de confiture. Un air inquiet se dressa sur la figure enfantine. « Maman, tu vas bien ? » Même âgée de onze ans, la fillette prenait soin de sa mère, si essoufflée à chaque pas ou geste. « Wee, tu ferais bien de dire au revoir à ton copain, on s'en va pour Bristol » Même si petit, on arrive pas à dire adieu, même au revoir. Elle est partie, du jour au lendemain, laissant la grande propriété familiale et sa petite sœur dedans aux mains d'une tante. Tout au long du trajet dans le train, la fillette regardait par la fenêtre espérant rentrer à Londres. Comme toujours elle n'a pas eu le courage, le courage de dire au revoir à ses camarades de classe, de l'appeler et de lui dire qu'elle partait, de laisser un mot à Lyllibell comme quoi elles pourraient ne plus jamais se revoir. Sa mère a réussi à avoir une maison aux enchères sur le net.
boston, deux septembre et si c'était pour toujours ... Ça y est elle est partie, maman est partie et m'a laissé toute seule dans la grande maison. Je sais pas quoi faire en dehors des cours, je sais pas à qui parler, je sais même pas comment allumer la cheminée donc c'est Loïse qui fait tout. Les médecins disent que son état s'arrange mais le bien tombe au plus bas. « Allo ? Je suis bien à la résidence des Roosevelt ? » Cette voix, elle avait tellement changé en six ans, que normalement, je n'aurais jamais du la reconnaître mais elle m'était tellement familière. « Je suis vraiment désolée, on était tellement petits et j'ai ... » « Je me fiche de toi, je veux des nouvelles de ta mère » Le téléphone partit dans le fleuve qui passait à travers la ville. C'est ce qu'on appelle avoir le cœur si brisé qu'on veut aussi se jeter dans l'eau. Tout en même temps, j'ai craqué, restant enfermée dans ma chambre avec pour seule distraction les chevaux et les oiseaux. Puis c'est arrivé sans vraiment que j'y crois. Je m'apprêtais à sortir pour une fois quand on m'a téléphoné, enfin il m'a téléphoné. Ce vieux connard, il l'a laissé partir sans même m'avertir, sans que je lui dise au revoir. J'aurais voulu pourtant lui dire, lui faire savoir que j'avais encore besoin d'elle. Oui, ma maman est morte et j'en suis désolée pour moi. Lorsque je suis rentrée de la morgue avec ses affaires personnelles, un paquet de poudre blanche est sorti de son sac, celui qu'elle portait tout le temps, celui qu'elle avait tout le temps près d'elle dans sa chambre blanche.
boston (chez X), treize novembre comme quoi, on est jamais sûr de rien ... « Wee ! Ramènes ton cul ici ! » Pas besoin de le répéter. Ce qu'elle sait pas, c'est qu'elle finira dans le lit de quelqu'un qu'elle n'a jamais vu et que la jeune fille finira une fois de plus à l'hôpital. Seulement c'est ce soir-là, le gars, oui elle le connaissait de vue à cause de l'école, mais elle n'avait pas vraiment prévu de ce qui allait se passer entre eux, et des conséquences. Elle a pris son numéro de téléphone, et ils ont encore passé la soirée ensemble en se gavant de drogues et d'alcool. Peut-être qu'elle l'aime ? Peut-être que non. Peut-être que c'est juste à cause de son corps ? Peut-être que non. Ce qu'elle sait, c'est qu'elle peut l'appeler à tout moment. Mais c'est à partir de cette rencontre qu'elle va apprendre à freiner ses excès, qu'elle a rendez-vous avec sa psy' toute les deux semaines que ce soit en face ou par téléphone, qu'elle veut reprendre plus que tout contact avec sa sœur, qu'elle se rend compte que la drogue n'est pas mieux que la vie, que le deuil n'est pas fini et ne fait que commencé.
Pseudo & âge : Marion lui suffira (h) Comment avez-vous connu DG? : JADINOUNETTE Commentaires? (a) : BOUYAH ! Code du règlement : Ha non désolé, je suis validé !
Dernière édition par Weendy G. Roosevelt le Dim 14 Fév - 0:40, édité 1 fois | |
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Lazlo Darlington BUBBLY FACE ♦ This chaos, this calamity, this garden was once perfect
Pseudo : Cheeky Messages : 248 Date d'inscription : 17/01/2010
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Weendy G. Roosevelt
Pseudo : redpuppy Messages : 5 Date d'inscription : 14/02/2010
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Shalom Palmer
Pseudo : mélissa Messages : 127 Date d'inscription : 08/02/2010
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